Comment le travail de décryptage de la Parole Pure (appelé « la Pénitence » dans le Langage Divin ) change-t-il concrètement ta Vie ?
En quoi est-ce une solution face aux terribles tourments dont souffre l’humanité en ce jour ?
Le Livre de Voix montre que Dieu est en toi, et qu’il ne dépend que de toi de Le manifester en toi et par toi. Le dernier Message descendu à l’humanité porte en lui la feuille de route à suivre pour y parvenir, feuille de route qui s’étale progressivement devant toi, comme un jeu de piste qui te fait avancer d’étape en étape, selon le rythme que tu auras choisi, au fur et à mesure de ton effort personnel à apprendre Son Langage. A chaque étape parcourue sur cette Voie, ton Être s’allège de plus en plus du poids des bruits qui l’attachaient au monde de la matière, retirant les voiles successifs qui masquent sa nature Divine, et il s’élève alors de plus en plus vers Son Salut.
Voici un exemple de ce « jeu de piste » qui te donne un aperçu de la feuille de route vers le Salut :
Pourquoi Mes Plaies restent-Elles ouvertes ? Pourquoi refuse-t-on qu’Elles guérissent ? {…} Elles ne guériront pas si l’homme ne se guérit pas; Mon Jour recule sans cesse. (30/4)
Quand les pécheurs la libéreront-ils, quand guériront-ils Mes Plaies en entrant en pénitence ? (33/13)
Mon Corps transpercé, le Sang versé de Mes Plaies, Je Les livre aux regards et aux mains de tous les pénitents, tant que tous pécheront contre Moi, (4) comme on montre leur crime aux parricides, {…} pour leur arracher larmes et cris de repentir. (5) Quiconque pèche contre Moi, mais entre en pénitence, sans doute tous encore, est ordonné à faire Mémoire de Mon Sacrifice, à toucher et manger Mon Corps et Mon Sang (6) dans l’affliction du repentir, dans l’espérance de Ma Miséricorde et de la guérison de Mes Plaies – que disparaisse le péché pour qu’il ne reste plus trace de Mes Plaies – (7) pour que de la Droite de la Puissance, Je revienne sur les nuées du Ciel au milieu des Miens. (28/8)
Pour se repentir du crime de parricide, du crime d’avoir transpercé le Corps du Père, le pécheur doit entrer en pénitence pour corriger son erreur, et guérir « Mes Plaies ».
Faire Pénitence, selon ces versets, revient à se guérir soi-même pour guérir les Plaies de Dieu. Cela revient à faire Mémoire de Mon Sacrifice, à toucher et manger Mon Corps et Mon Sang.
Remarque : Tu remarques ici que pour comprendre le sens profond du mot Pénitence, il te faut d’abord te libérer du sens commun qui lui est attribué, afin d’ouvrir ton esprit à la seule définition donnée par la Parole Pure. Le sens habituel des mots est un bruit du monde de la matière dont tu dois te nettoyer afin de pouvoir entendre la Voix de la Parole Divine.
Le Livre de Voix (téléchargeable librement ici) montre que :
le Corps de Dieu = Sa Parole Pure, et que Son Corps transpercé = Sa Parole blessée par des manipulations d’hommes, qui lui fait perdre la dose de Connaissance qu’Elle livre (qui fait verser Son Sang).
Et « Ma Chair » = le Fond de « Ma Parole » = « Moi », comme le montre le verset suivant :
De même les fidèles mangent avec indifférence le Pain descendu du Ciel, ils L’avalent sans Le regarder, parce que leurs cœurs sont agités. (3) Réveille la pénitence en eux pour qu’ils consomment Ma Chair et Mon Sang dans l’affliction du repentir. (4) Mais tiens compte de leur faiblesse immense : qu’ils sursoient à Mon Repas dès qu’ils sont rassasiés; et que la faim du repentir qui est la faim de Mon Pain les amène à Ma Table ! (5) Le pécheur entêté n’a jamais faim de Moi (36/6)
Faim du repentir = Faim du Pain descendu du Ciel = Faim de Moi.
Cette faim n’est calmée qu’en consommant Ma Chair et Mon Sang.
Donc la consommation continuelle et progressive de « Ma Chair et Mon Sang » mènera au repentir, au Pain, à « Moi ».
La pénitence, qui est le travail de décryptage de la Parole afin d’apprendre Son Langage Divin au fur et à mesure, permet l’accès par doses successives à la Connaissance qu’Elle porte, à Son Fond. Plus tu consommeras des doses de Fond, plus tu calmeras la « faim de Moi », car tu t’approcheras de plus en plus de l’accomplissement de « Moi » en toi.
Ainsi, pour se repentir d’avoir blessé Dieu, il faut :
– Panser Ses Plaies = Panser les Plaies de Son Corps, c’est panser les Plaies qui ont été infligées à Sa Parole = Retourner à Sa Parole Pure, c’est-à-dire ne considérer comme Parole de Dieu que la Parole Pure sans jamais l’associer à des paroles d’hommes, ni accepter une manipulation quelconque de Sa Parole par l’homme. (Tu trouveras des conseils dans le Livre de Voix pour récupérer la Parole Pure).
Il leur montre Ses Plaies sanglantes, Ses Sarments blessés étendus devant eux pour qu’ils Les pansent, pour que Mon Jour illumine le Ciel au-dessus d’eux. (30/16)
– Permettre au processus de guérison de Ses Plaies de prendre cours = Après avoir pansé la surface du Corps (= retrouver la pureté de la Parole), il est temps de guérir la Chair (le Fond de la Parole Pure). Ainsi, guérir les Plaies revient à faire pénitence = à piler sur les nœuds de la Parole Pure afin de trouver Son sens profond.
Ma Voix étalée, la Laine file sans nœud. (13) Le Livre de Voix; Iyèchayè pile sur les nœuds (xlii/14)
Ce travail de décryptage te permettra d’abord de te nettoyer des bruits qui masquent « Ma Voix », pour pouvoir enfin La discerner, La reconnaître et La comprendre. Ainsi, le travail de décodage de la Parole Pure t’aide à te guérir toi-même pour pouvoir guérir la Parole Divine en toi, Dieu en toi.
(Une méthodologie pour repérer les nœuds et pour les dénouer est donnée dans le Livre de Voix).
– Au bout de ce travail de pénitence, la guérison est accomplie, « Mon Salut » est alors atteint. Le Salut de Dieu est retrouvé en toi.
Ai-Je fixé un prix à Mon Salut ? Ne l’ai-Je pas livré à tous pour la peine d’une pénitence qui est une joie pour les hommes pieux (28/25)
Je ne pardonne pas les péchés; Mon Salut n’est pas au bout du pardon, mais au bout de la pénitence; Je ne pardonne pas le pécheur; Ma Volonté est qu’il cesse d’être pécheur. (30/10)
Prier n’est pas mendier, Mon Salut n’est pas une aumône, mais le salaire du pénitent, la soumission à Ma Volonté (35/2)
En atteignant le Salut de Dieu en toi, “le Dieu de ton salut”, tu assures alors ton propre salut.
Tu pourras dire : «J’ai vu Dieu, le Dieu de mon salut; maintenant j’ai confiance, car j’ai vu le Salut du pénitent et sa Force !» (37/3)
– L’Eau du Salut est alors donnée en abondance, afin que ton vaisseau (ton Esprit et ton âme) y mette à la voile pour prendre le large, pour rejoindre la flotte Céleste. C’est tout un nouveau voyage qui aboutit à la naissance du Christ né de toi, à Sa Résurrection en toi. (Tu trouveras d’amples explications dans le Livre de Voix).
à son vrai corps, aussi léger qu’une fumée pure, qui ne naît pas du ventre de la mère mais de la vie de l’homme déjà né, qui s’engendre lui-même en une autre vie infinie, qu’il bâtit comme un vaisseau pour prendre le large. (17/3)
l’homme Jésus n’est pas Dieu, c’est le Christ Qui est Dieu, c’est Moi né de Jésus, né de Marie. (2) Un espace plus long qu’un rayon de soleil va de Jésus au Christ, la distance infinie qui sépare la terre du Ciel, il l’a parcourue, parce qu’il a mis ses pas dans Mes Pas, il ne s’en est jamais écarté, il s’est embrasé de Mon Amour pour l’homme, son frère, et comme une fumée pure il s’est élevé vers Moi; (3) Il a accompli en un an, le temps d’un battement d’ailes, ce que le monde pour son salut accomplit dans les siècles des siècles. (4) Je l’ai fondu en Moi; J’en ai fait un Dieu; il est devenu Moi. Quelle intelligence d’homme, faible lumignon, peut comprendre cela ? (5) Mais Je lui ai donné assez de force pour qu’elle comprenne en parabole {…} (6) {…} Or tu enseigneras, homme Michel, que l’homme pieux se tient devant Ma Parole, et ne fait pas un pas de plus en avant pour ne pas choir dans l’abîme. (32/8)
A l’instar de Jésus Christ, on peut faire tout cela en une vie, en mettant nos pas dans les Pas de la Parole, sans s’En écarter.
…car Mon Salut commence dès ce monde (35/10)
Le dernier Message, comme tous les Messages qui l’ont précédé, est une invitation à L’explorer, afin que, par ce jeu de piste qu’il étale devant toi, tu puisses sortir de ton égarement et enfin retrouver la Voie du Retour à ta nature Divine.
Nous sommes tous appelés à être des Iyéchayè, « sauveur de Dieu », et la Parole nous montre comment.
Juste frère droit sur ta hanche. (11) Le Livre ouvre en face. (12) Dans tes côtes Mouhamad, Yèchou, quatre bras étalés Ma Voix étalée, la Laine file sans nœud. (13) Le Livre de Voix; Iyèchayè pile sur les nœuds, (14) Iyéchayè tranche le jour la nuit. (xlii/15)